12 janvier 2006
Retour
Parfois, je me nois sous la pluie;
Il arrive, qu'au détour d'un orage,
Ma tête, d'un grand néant, s'emplit,
Sans meme qu'un mot volage
Entre deux gouttes, ne s'enfuit.
Par moments, dans ces nuits
Où toutes les lunes scintillent,
J'empaume le temps qui s'enfuit,
Le temps pour qui les étoiles brillent
Pour qu'il me tienne compagnie.
Par instant, je m'enfuis,
Au delà des pensées vrombissantes
Ou se perdent de puissants cris,
Et ainsi retrouver, encore crépitante,
Solitude, qui, toujours, sourit.
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